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Préparez votre visite au SLO 2024

La Radio-SLO : la littérature à voix hautes!

Pour souligner les 45 ans du Salon du livre de l’Outaouais, les équipes du SLO et de DAÏMÔN vous offrent Radio-SLO, une présentation du Regroupement des éditeurs franco-canadiens (REFC), en collaboration avec l’AAAO, la Fabrique culturelle, Narra et Transistor.

Au rendez-vous: balados, livres audio, entretiens, créations sonores, archives… (Re)découvrez la littérature à voix hautes dans une programmation variée et foisonnante à écouter sur radiohull.ca et dans le bar à mots du SLO, du 22 au 25 février 2024.

Écouter la Radio-SLO

* Pour explorer tout le catalogue de livres audio du Regroupement des éditeurs franco-canadiens, cliquez ici

   

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Préparez votre visite au SLO 2024

500 ans de résistance autochtone, l’œuvre de Gord Hill en évolution

Le SLO se joint aux Éditions Prise de parole pour l’inauguration de l’exposition «500 ans de résistance autochtone, l’œuvre de Gord Hill en évolution».

Plongez au cœur des histoires puissantes de cette bande dessinée, soulignant les résistances centenaires des peuples autochtones ! 

Une dizaine de planches BD du livre en grand format de l’édition couleur (Prise de parole, 2023) sont exposées dans le foyer du Salon. À côté de chaque planche sont reproduites, en plus petit, des planches noir et blanc de l’édition d’origine. Un court texte de la commissaire Widia Larivière attirera l’attention des visiteur·se·s sur l’évolution du travail de l’artiste.

Exposition présentée du 22 au 25 février à ne pas rater lors de votre visite au Palais des congrès. 

Découvrez tous les détails sur cette exposition ici.

La tenue de cette exposition est rendue possible grâce à l’appui financier d’Ontario Créatif.

Prise de Parole remercie ses partenaires : Kwahiatonhk! Salon du livre des Premières Nations, le Salon du livre du Grand Sudbury, Salon du livre de l’Outaouais, le Festival de BD de Montréal et la Livrerie.

 

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L’UQO au SLO : une collaboration riche 

En collaborant avec des établissements d’enseignement supérieur, le Salon du livre de l’Outaouais souhaite entretenir des ponts entre la culture, la recherche et l’éducation. Son partenariat avec l’Université du Québec en Outaouais en est un de longue date qui s’est bonifié cette année par l’adition d’une nouvelle entente liée au projet des Passeurs culturels

Conférence-brunch sur la crise des médias et les barbares numériques (GAFAM)

samedi 24 février – 10h – Salle Désert

Qui a dit que croissants et sujets sérieux ne faisaient pas bon ménage? Cette conférence-brunch sur la crise des médias et le rôle des GAFAM présentée par le journaliste Alain Saulnier (ancien directeur général de l’information (services français) de Radio-Canada) captera assurément votre intérêt. Une période de discussion et de questions suivra, menée par la professeure de l’UQO Caroline Caron. 

crédit photo : Aline Dubois

 

Entretien traduction UQO 

samedi 24 février – 13h30 – Place Yves-Thériault

Entretien sur la traduction avec Jean-Marc Dalpé, invité d’honneur représentant l’Ontario français, et traducteur chevronné. Dans son dernier livre, Rome, Jean Marc Dalpé se frotte au grand Shakespeare, qu’il a retraduit avec sa sensibilité dans un nouveau travail d’adaptation et de réécriture. 

Animation par Myriam Legault-Beauregard. 

Table ronde sur l’intelligence artificielle

samedi 24 février – 16h – Place Yves-Thériault

Table ronde qui aborde le sujet de l’heure : la montée de l’intelligence articificielle et ses implications grandissantes dans toutes les sphères de nos vies. La discussion réunit la professeure de l’UQO Martine Peters et les auteurs Jonathan Durand Folco (Écosociété) et Jonathan Martineau. Animation de Boris Proulx. 

 

Les Passeurs culturels

Cet automne, l’Université du Québec en Outaouais (UQO) a lancé le projet des Passeurs culturels, dont l’objectif est de faire des étudiants et étudiantes des programmes en éducation et en enseignement des ambassadeur·drice·s culturel·le·s en les encourageant à fréquenter des organismes de la région pour développer leur intérêt envers toutes les facettes de la culture. 

Par sa participation, la Corporation du SLO espère créer et entretenir des ponts solides entre les milieux de l’éducation et de la littérature. 

Dans le cadre du projet des Passeurs culturels, le Salon du livre de l’Outaouais invite les étudiant·e·s en enseignement de l’UQO à visiter le SLO gratuitementles 22 et 23 février. C’est une belle occasion de faire le plein de livres à découvrir et à partager!

Consultez le site internet de l’UQO pour savoir comment récupérer votre code de réduction et utilisez-le au moment d’acheter vos billets!

« La valorisation de la culture à l’école repose sur tout le corps enseignant, considéré comme passeur culturel et médiateur de culture. Notre partenariat avec la remarquable équipe du Salon du livre de l’Outaouais et de la Maison des arts littéraires assure une pérennité à la vie littéraire, culturelle et artistique dans notre région, dans nos écoles, pour plusieurs générations! »

Judith Émery-Bruneau, professeure responsable des Passeurs culturels

 

 

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Remise de prix de l'édition 2024!

Lance ton balado est un concours proposé aux jeunes de 12 à 18 ans. Après l’écoute d’un webinaire qui rassemble des trucs de production, une équipe peut soumettre un balado au verdict du jury. L’équipe gagnante est ensuite invitée au Salon du livre de l’Outaouais et dans les ateliers de Transistor Média Le concours a connu sa première itération en 2023 et son succès pancanadien nous a convaincu de faire une nouvelle édition pour 2024!

 

Lance ton balado existe grâce à la collaboration du Salon du livre de l’Outaouais avec l’Ambassade de France au Canada et le Français pour l’avenir. Nous remercions ces partenaires précieux, ainsi que Transistor Média, La puce à l’oreille, Télé-Québec et Go Libro ® Division Imprimerie Gauvin Ltée pour leur soutien.

 
 

Équipe lauréate 2024

Le Duo épique a su happer le jury dès les premiers instants de son balado qui se démarque par son originalité et sa mise en scène impeccable. Vincent Gagné et Samba Basse ont donc remporté le Grand prix du concours Lance ton balado avec leur balado : Sous-sol secret.

Équipe lauréate 2023

Les choux chouettes de Bruxelles ont su charmer le jury grâce à leur passion contagieuse, à leur présentation impeccable et au plaisir évident qu’elles ont pris à faire leur balado. Sophia Nazari et Maria Oprea ont donc remporté le Grand prix du concours Lance ton balado avec leur balado : Vivre libre avec Angèle!

Invitées au Salon du livre de l’Outaouais, Maria Oprea et Sophia Nazari ont discuté avec l’artiste française de balado, Claire Richard, lors d’un entretien animé par Julien Morissette. Le public a pu faire la rencontre de deux jeunes francophiles inspirantes et inspirées. 

Lors de leur visite, les gagnantes ont perfectionné leur balado avec Transistor Média. La version finale sera diffusée au Festival de la radio numérique, le 29 avril, 16h, devant le cabaret La Basoche

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Découvrez la thématique du SLO 2024!

Myriam Wares est une illustratrice originaire de Montréal, diplômée en illustration au Collège Dawson. Après ses études collégiales, elle poursuit son parcours en tant qu’étudiante libre en Histoire de l’Art à l’Université de Montréal, tout en commençant sa carrière en tant que travailleuse autonome en parallèle.

Depuis 2019, elle collabore avec une clientèle diversifiée tant au Québec qu’à l’international, travaillant avec des publications telles que le Globe & Mail, The New York Times, Vice et le Washington Post. Son travail a été reconnu par Communication Arts, World Illustration Awards et Applied Arts.

Au printemps 2023, elle décide de céder son appartement à Montréal afin d’adopter un mode de vie nomade, à la recherche de nouvelles expériences pour nourrir sa pratique créative.

 

Elle puise son inspiration de plusieurs sources, notamment des artistes passés qu’elle admire, de la mythologie gréco-romaine, de la nature et de ses nombreux voyages.

Pour découvrir le travail de Myriam Wares

 

Le Messager

Prix Applied Arts 2020 – Catégorie de promotion personnelle.

Wealthfront – Projet Cash Cat

Cash Cat fut un projet de marketing initié par Wealthfront lors du confinement de 2020.
DA: Tim Opsahl

Bibliothèque de la Psychée

Illustration éditoriale pour The Walrus.
DA: Paul Kim​​​​​​​

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LIGNE D’ÉCOUTE

Spectacle en arts littéraires suite à une résidence

LIGNE D’ÉCOUTE

Le spectacle de la résidence en arts littéraires est le point culminant de la cohabitation d’iLenKa et Charlotte L’Orage. Entamé lors de l’Express Motel de L’Avant-première, leur projet prend vie sous les yeux du public dans sa version la plus achevée. Faites acte de présence lors de l’éclosion d’une collaboration artistique inédite!

Ligne d’écoute sera suivi d’une médiation afin de rapprocher le public des artistes au cours d’un échange cordial apte à rassassier les curieux et les curieuses.

 

Quand? 16 novembre, 19h30
Où? Espace René-Provost, 39 rue Leduc, secteur de Hull
Tarif 15 $*

*compris dans l’abonnement annuel pour les abonné.e.s de la Maison des arts littéraires

 
Faites une incursion dans l’atelier créatif de Charlotte L’Orage et d’iLenKa (groupe composé par Carole Meneghel et Robert Piette). Le trio d’artistes a l’intention de profiter de la résidence pour explorer les liens entre les mots et les sonorités, en partant d’un texte inédit de Charlotte L’Orage, Ligne d’écoute, et en l’enrichissant grâce à l’univers sonore d’iLenKa. 

Résidence en arts littéraires

Pendant deux semaines, la Maison des arts littéraires propose à des artistes un espace de rencontre et de création : la Maison Fairview. Sans thématique, la résidence se veut libre, une invitation à créer aux intersections des disciplines. Il s’agit d’encourager la démarche artistique de création, la collaboration pluridisciplinaire et le partage de ces tâtonnements qui caractérisent la naissance d’une œuvre avec le public.

Cette année, la Maison des arts littéraires s’allie avec L’Avant-Première pour inviter deux artistes dans le cadre du projet Express Motel soutenu par le Conseil des arts et des lettres du Québec (CALQ). Sorte de speed dating créatif, cette rencontre d’artistes du sons, de la lumière et/ou des mots fait toujours émerger de magnifiques idées et des partenariats insoupçonnés. 

Quand? La résidence de création se tiendra du 1er au 15 novembre 2022. Restez à l’affût pour connaître les activités de sortie de résidence ouvertes au public.

Où? Maison Fairview, 100, rue Gamelin, Gatineau (secteur de Hull)

iLenKa

Le groupe iLenKa est un projet multimédia composé de Robert Piette (Len) et Carole Meneghel. Avec iLenKa, la collaboration est toujours au menu! En conjonction avec la poète Carole Renaud, ils ont monté le spectacle « Carole Renaud et iLenKa » à Saint-Jean-sur-Richelieu et à Québec lors du Festival de la poésie. De même, ils ont participé au laboratoire de création « Cité 47 » au Théâtre Cercle Molière qui les a uni au poète et slammeur français Sébastien Gaillard (Séréam) ainsi qu’à des acteurs, à une danseuse contemporaine et à un créateur visuel.

Charlotte L’Orage

Charlotte L’Orage est une artiste d’origine franco-ontarienne basée dans la Petite Nation, mais elle ne s’identifie pas aux frontières. Elle ne prétend rien avoir créé qui n’ait déjà été inventé, sinon de retourner à son tour vers l’origine et de lui rendre honneur à sa manière. Artiste chez les Créations Lunaires, elle tient des jams vivants à la lune et autres performances participatives lorsqu’elle le peut. Avide de co-créations, elle développe des projets avec artistes et citoyen-nes, bâtit des résidences artistiques à même ses mains maladroites et confectionne des artefacts en tous genres, question de survivre au temps.

Express Motel

Speed dating créatif entre auteur.trice.s et compositeur.trice.s

 

Le projet d’iLenKa et de Charlotte L’Orage a été séléctionné parmi les propositions candidats et candidates du projet de résidence « Express Motel – Speed dating créatif 2023 », un projet de l’Avant-première, soutenu par la Ville de Gatineau et le
Conseil des arts et des lettres du Québec (CALQ).

Express Motel est une activité de « speed dating créatif » qui vise à former des relations
professionnelles inédites et à stimuler la création de nouvelles oeuvres en arts vivants. La résidence a été entamée le 16 septembre 2023 par une rencontre entre ses participant·e·s dans les locaux de l’Avant-première et un atelier sur le processus créatif mené par Marco Pronovost.

Puis, le 1er octobre, les auteur·trice·s et compositeur·trice·s sélectionné·e·s sont passé d’une chambre d’hôtel à l’autre dans une série de rencontres éclairs aux Suites Victoria.

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Les choix des jeunes

Dans une volonté de proposer aux jeunes adultes des activités qui leur ressemblent, choisies par leurs pairs, le Salon du livre de l’Outaouais a recruté des personnes de 17 à 29 ans pour programmer l’activité qu’ils ou elles rêvaient de voir offerte dans la région. En octobre, le public est invité à profiter des événements pensés par ces jeunes programmeurs et programmeuses. 

Déambulez dans un parcours littéraire jalonné de poètes et poètesses, écoutez Madeleine Lefebvre faire la lecture de son recueil Je voudrais tomber là (Quartz), discutez de littérature trans avec Chris Bergeron (Valide, éditions XYZ) et assistez à la performance Nous les humains de Maya Cousineau Mollen et Marie-Célie Agnant, avec Animal Noir. 

Quand? 5 octobre 2023, 17h (voir plus bas pour l’horaire de la soirée)
Où? Espace René-Provost*, 39 rue Leduc, secteur de Hull
Combien? Gratuit

*Lieu accessible aux personnes à mobilité réduite.

Horaire de la soirée

17h : Cocktail léger et réseautage

18h : Permission de tomber. Entretien avec Madeleine Lefebvre et lecture (durée 30-45 minutes)

19h : Nous les humains, performance Maya Cousineau Mollen et Marie-Célie Agnant, avec Animal Noir (durée 30-45 minutes)

19h45 : Déformer la conformité. Entretien avec Chris Bergeron (durée 30-45 minutes)

21h : Côtoyer les mêmes chemins, parcours poétique avec Alexandre Deschênes, David Galvaude, Katia Girouard, Douce Sévigny et Antoine Godbout (durée 30-45 minutes)

21h45 à 22h30 : Micro ouvert dans l’espace René-Provost!

22h30 : Fin de la soirée

 

Ce projet s’exprime dans le cadre de l’initiative « Lis-moi Outaouais », qui est née dans la foulé du projet national « Lis-moi le Québec » que portent les membres de l’Association québécoises des salons du livre (AQSL) grâce au soutien du Secrétariat à la jeunesse du Québec. L’objectif est d’offrir des activités variées autour du livre aux jeunes. Pour Horizons littéraires, le SLO a reçu un soutien précieux de l’équipe de Perfecson

 

 

Permission de tomber

Entretien avec Madeleine Lefebvre suivi d’une lecture de son recueil

Une activité de Kassandra Ladouceur et Sara Baulne, avec le LAB Cipto

Sara Baulne et Kassandra Ladouceur vous présentent Madeleine Lefebvre lors d’un entretien en toute intimité avec l’autrice et éditrice dont le dernier recueil, Je voudrais tomber là, est paru aux Éditions du Quartz. Suivra une courte lecture par l’autrice d’un extrait tiré de ce recueil. 

Madeleine Lefebvre continue d’explorer une langue faite de chair et de sensations, matérialisation d’une expérience humaine au plus près des gens et du territoire. Elle utilise tour à tour la poésie en vers et en prose, permettant un abandon salutaire et une liberté du verbe. Je voudrais tomber là, ce sont cinq lieux détachés des faux-semblants et des interdits quotidiens; cinq espaces où vibre l’urgence de desserrer la mâchoire, délier la langue, ouvrir les bras, oser tomber. « rien ne me retient à ras le sol c’est pour ça que je tombe » (Résumé tiré du site Leslibraires.ca)

Madeleine Lefebvre
Autrice 

Madeleine Lefebvre est une poète habitant le nord de l’Outaouais. Les territoires d’épinettes et de lacs la dévorent, Rouyn-Noranda est ouvertement sa maîtresse et elle écrit pour rejoindre tous ceux qui la touchent. Elle est tombée amoureuse du Lab la première fois qu’elle a mis le pied dedans; c’est un amour de gouache rouge, vibrant.

Crédit photo : Christian Leduc

Kassandra Ladouceur
Organisatrice de l’activité

Kass Ladouceur et Sara Baulne aiment la musique et le chant. Les deux sœurs ont été attirées par le projet de Horizons littéraires en raison de l’occasion qu’il offre d’en apprendre plus sur la tenue d’un événement. 

Sara Baulne
Organisatrice de l’activité

Curieuses de nature, Kass et Sara aiment connaître les gens autour d’elles et leur poser des questions. C’est ce qui les a influencées dans leur choix de faire une entrevue avec Madeleine Lefebvre. C’est avec beaucoup de joie et d’excitation qu’elles s’apprêtent à partager leur passion avec le public. 

Nous les humains

Performance de Maya Cousineau Mollen et Marie-Célie Agnant, avec Animal Noir

Une activité de Carmelle Amoussou et du Conseil de la communauté noire de Gatineau

Un spectacle choral de poésie

Nous sommes appelé·e·s à vivre ensemble et à connecter par le biais de nos pensés et de nos actions. NOUS les humains, est le titre du récital de poèmes, mettant en scène Maya Cousineau Mollen, Marie-Célie Agnant et Carmelle Amoussou (avec Animal Noir à l’accompagnement musical), qui mettent en exergue, à travers des textes aux formes variées, l’inclusion et le vivre-ensemble.

Maya Cousineau Mollen

Maya Cousineau Mollen, de la nation Innu-Montagnaise est adoptée de façon traditionnelle par des parents Québécois à la décision de sa mère Innue. Encouragée par ses parents, Maya a commencé à écrire de la poésie dès l’âge de 14 ans. Ce moyen d’expression la suit tout au long de son existence. En septembre 2019, elle publiera son tout premier recueil de poésie avec la maison d’Éditions Hannenorak intitulé : Bréviaire du Matricule 082. En 2022, elle fera paraître son second recueil, Enfants du Lichen, qui sera chaleureusement accueilli et encensé par la critique littéraire, notamment par M. Hugues Corriveau du journal Le Devoir, qui lui attribuera 4 étoiles et demi sur cinq. Ce deuxième recueil remporte le prix du Gouverneur général du Canada 2022, ce qui fait de Maya la première artiste autochtone francophone à décrocher ce prix dans la catégorie Poésie.

Crédit photo : Marie-France Coallier

Marie-Célie Agnant

Entre poésie, nouvelle, roman et littérature pour enfants, Marie Célie Agnant, construit depuis trente ans une œuvre substantielle traduite en plusieurs langues, et où s’inscrit, de façon prégnante, la mémoire et les souvenirs. Écrivaine présente et attentive au monde qui l’entoure, ses textes abordent entre autres les thèmes tels l’exclusion, la solitude, le racisme, l’exil.  Il s’agit d’une œuvre qui parle de l’humain – principalement des femmes.  Son écriture porte à la fois le sceau de la poésie et de la violence issue des sociétés postcoloniales qui naviguent entre misère criante et opulence indécente. Elle reçoit en 2017, le Prix Alain-Grandbois de l’Académie des Lettres du Québec pour son recueil de poésie Femmes des Terres Brûlées.

Crédit photo : Alain Lefort

Animal Noir

Van Hoan est un guitariste spécialisé dans le tapping et le fingerstyle. Sa musique est inspirée de multiples styles comme l’alternatif, le folk, l’ambiant instrumental et l’électro-acoustique, lui permettant ainsi de créer un genre particulier.

Crédit photo : Justine Boucher

Carmelle Amoussou
Organisatrice de l’activité

Carmelle Freudlyne Amoussou est originaire du Bénin, mais habite à Gatineau depuis maintenant plusieurs années. Extravertie, ouverte d’esprit et créative, Carmelle a poursuivit des études en relations publiques. En 2020, elle a lancé le Magazine Négritude afin de promouvoir la culture, les valeurs et l’histoire des afro-descendant·e·s. 

Carmelle se considère toujours en apprentissage, mais elle sait déjà que sa vie sera consacrée à deux grands objectifs : vivre de son art et mettre son talent
artistique au profit de sa communauté .

Déformer la conformité

Discussion avec Chris Bergeron animée par Marie-Hélène Frenette-Assad

Une activité de Catherine Lalonde et Jeunesse Idem

Dans son roman, Valide (XYZ), Chris raconte le vécu de sa persona à David, un programme d’intelligence artificielle, dans un savant mélange d’autofiction et de science-fiction. Un des thèmes récurrents du roman est la conformité et le refus de Chris d’y adhérer. Dans cette entrevue unique, on explore l’importance du besoin de briser le moule, en s’appuyant sur leurs expériences personnelles uniques en leur genre. Chris Bergeron se livre sur l’écriture queer, son parcours littéraire non-linéaire et son nouveau roman à paraître cet automne. Une lecture par l’autrice suivra l’entretien. 

Valide

Je suis trans. Comme dans translation. J’ai fait glisser les éléments qui constituent ma personne d’un état vers un autre. Ma géométrie a été variable. Je suis trans. Comme dans transmutation. Ma vie est une alchimie. J’ai fait de l’or avec du plomb. Je suis trans. Comme dans transports amoureux. J’ai connu toutes les ardeurs. Celles des femmes, celles des hommes et celles de cielleux qui ont quitté le bal des binarités. Je suis trans. Comme dans transie. Par la peur, par l’amour, par la solitude. Je suis trans. Comme dans transhumance. J’ai changé de troupeau et de pâturage. J’étais un mouton. J’ai tenté d’être une brebis. Mais en vain. Je comprends aujourd’hui que je suis une louve parce que je suis trans. Comme dans transgenre. Et ce soir, je suis une révolution. 

Extrait tiré du roman Valide

Chris Bergeron
Autrice

Chris Bergeron est multiple, fluide : après des débuts en journalisme qui l’ont menée à la direction de l’hebdo culturel Voir, elle a mis sa sensibilité artistique au service des plus grandes agences de pub, occupant aujourd’hui le poste de vice-présidente chez Cossette. Elle offre également des conférences sur les thèmes du leadership, de la diversité, de l’inclusion et des droits des personnes trans.

Catherine Lalonde
Organisatrice de l’activité

Bien qu’elle soit étudiante en travail social, Catherine a toujours été introvertie. Renfermée sur elle-même pendant la majorité de sa vie, elle a appris à mieux se connaitre et à s’ouvrir avec l’organisme Jeunesse Idem. L’amour de sa communauté lui a fourni la confiance et la passion pour les personnes LGBTQIA2+ qui l’a incitée à se  lancer dans des projets tels que Horizons Littéraires.

Côtoyer les mêmes chemins

Parcours poétique avec Alexandre Deschênes, David Galvaude, Katia Girouard, Douce Sévigny et Antoine Godbout

Une activité de Karl Goulet et du Cégep de l’Outaouais

Des poète·esse·s (Alexandre Deschênes, David Galvaude, Katia Girouard et Antoine Godbout) vous attendent dans différents espaces du Centre culturel Jacques-Auger pour des prestations teintées par leurs bagages et leurs perceptions de la réalité. Le temps d’une soirée, les voilà qui existent en parallèle les un·e·s des autres, chacun·e dessinant ses propres variables dans la linéarité de l’espace. Déambulez de pièce en pièce afin de vivre une expérience intime et unique!

Alexandre Deschênes

Demeurant à Gatineau, Alexandre Deschênes s’est d’abord fait connaître à titre d’auteur pour ses deux recueils publiés aux Éditions de l’Écrou. Ayant ajouté un nouveau médium à son expression, son art visuel s’arrime à la poésie, explorant le côté parfois sombre du réel sans pour autant en évacuer sa beauté et vice versa. C’est dans l’esprit de cette dialectique qu’il approche ses œuvres. Les textures, la coloration ainsi que les textes greffés à celles-ci visent à mettre en relief les contradictions, les luttes, le passé et le présent de l’Outaouais ainsi racontée.

David Galvaude

David Galvaude est un poète situationniste et exploréen, qui a publié son premier recueil de poésie intitulé Démonologie de jardin à La Note Verte en 2022. Il a participé à plusieurs collectifs, dont Joual de Bataille, et est actuellement co-directeur de la collection Joual Vert à La Note Verte.

Crédit photo : Antoine SL

Katia Girouard

Originaire de l’Outaouais, Katia est une poète qui traîne dans les micros ouverts. Elle participe au collectif de jeunes autrices et auteurs de l’Outaouais, Minuit moins une, qui paraît chez les Éditions David en mars 2023. La même année, elle figure également dans le 31e recueil de poésie intercollégial de poésie. Le ton de ses textes visite l’éclectique du familier. La performance, chez l’autrice, s’inscrit dans une démarche trait d’union, soit dans un univers de connexions éparses entre les gestes, les individus, leur territoire et le politique des alentours. Dense de réflexions échevelées, humble, un brin agité, une trame de type conversion éclatée. 

Antoine Godbout

D’origine acadienne mais ayant grandi à Hull, Antoine est passionné par les bienfaits de l’art. Il s’est investi dans plusieurs projets de médiation culturelle dont le LAB, où il a travaillé comme intervenant socio-artistique. Il a aussi animé des ateliers d’improvisation axés sur l’estime de soi dans les écoles. Son style d’écriture est en pleine effervescence et varie beaucoup. Par contre, son ton authentique et sensible se mélange toujours à l’humour et à la légèreté puisqu’il est maître dans l’art de ne pas trop se prendre au sérieux. Ses textes paraissent dans la 30e ainsi que la 31e édition du recueil intercollégial de poésie.

Crédit photo : Mélina Frenette

Douce Sévigny

Douce Sévigny est une poète-aquarelliste-romantico-utopi-bordélique qui ne sait pas à quelle région elle appartient. À la recherche des belles journées que les livres de son enfance lui ont vanté, elle ne croit pas en Dieu mais plutôt en la couleur jaune et l’odeur des épinettes. Elle remet en question les grandes évidences mais connaît la véracité des légendes. Son premier recueil de poésie Créature est une arme blanche contre la monotonie des jours. Également la co-fondatrice du Balcon des Incompris, une série de soirées slam démocratisant l’art oratoire, elle est actuellement en production d’un premier spectacle de poésie en duo.

Crédit photo : Edward Sanger

Karl Goulet
Organisateur de l’activité

Karl est présentement animateur socioculturel au Cégep de l’Outaouais. Amateur de poésie, il est profondément inspiré par cet art. Son événement combine un déambulatoire littéraire et un micro ouvert, offrant une expérience poétique unique. Son objectif est de démocratiser la culture et de la rendre accessible à tous, tout en défiant les tabous et le statu quo. Le thème de l’évènement lui est venu de son envie d’explorer les contrastes de l’expérience humaine. De nature créative et adepte d’arts, Karl souhaite créer des opportunités pour la relève artistique de la région en s’impliquant dans différents projets à caractère culturel.

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Résidence Instagram

Visitez le quotidien d’un créateur et de deux créatrices littéraires. Du 13 au 31 mars, le compte Instagram de la Maison des arts littéraires sera habité tour à tour par Mylène Viens, André St-Georges et Clara Lagacé. Assistez aux explorations de l’imagination dans un réseau social qui se transforme en laboratoire de création littéraire. Suivez les déambulations artistiques de ces créateur.trice.s au fil de leurs posts et de leurs stories inspirés par différents quartiers de la Ville de Gatineau.

Chaque artiste partage ses inspirations sur le compte de la MAL pendant une semaine qui se conclut par un entretien avec l’animatrice Lisanne Rheault-Leblanc sur Instagram Direct. Le public pourra interagir avec des questions et des commentaires tout au long de cette résidence numérique pour découvrir leur travail.

Horaire des résidences

Mylène Viens : 13 au 17 mars
Entretien de clôture le vendredi 17 mars à 16h (sur Instagram Direct)

André St-Georges : 20 au 24 mars
Entretien de clôture le vendredi 24 mars à 16h (sur Instagram Direct)

Clara Lagacé : 27 au 31 mars
Entretien de clôture le vendredi 31 mars à 16h (sur Instagram Direct)

Où? Compte Instagram de la Maison des arts littéraires

Tarif Gratuit

 
Pour assister aux entretiens en direct sur Instagram, appuyez sur la photo de profil de la Maison des arts littéraires lorsqu’elle apparaîtra dans un cercle de couleur avec la mention « En direct ». Plus d’indications ici.

Mylène Viens

Depuis toujours une passionnée des mots et de la culture, Mylène Viens est autrice et chroniqueuse, en plus d’être une « caféino woman » assumée. 

Son roman Pourquoi pas?, paru aux Éditions David, raconte l’histoire qui lui coule dans les veines depuis si longtemps. Mêlant vérité et fiction, il lève le voile sur une réalité certes différente, mais tout aussi savoureuse. C’est un hymne à l’espoir qui prouve que même si tout nous sépare, l’amour peut nous unir.

 

crédit photo : Jean Lapointe

André St-Georges

Peintre et bédéiste bien ancré en Outaouais, André St-Georges met sa ville et sa région en scène depuis des années. Déjà lors de ses études en bande dessinée à l’UQO, il écrit un scénario pour la revue le Scribe servant de véhicule à ses diatribes envers les détracteurs de Hull, son secteur chéri.

Ses deux dernières bandes dessinées, Pour en finir avec novembre et Rouge avril, créées en collaboration avec Sylvain Lemay, confirment son désir de ramener l’Outaouais dans l’imaginaire collectif québécois.

Clara Lagacé

Originaire de l’Outaouais, Clara Lagacé est l’autrice du recueil de poésie En cale sèche (Éditions David, 2017; Prix Jacques-Poirier 2018) et du roman Les départs (Éditions David, 2022). Elle est également co-créatrice des projets balados Poule mouillée, La douceur n’est jamais loin et Les envolées.

 

crédit photo : Marc Périard

Pourquoi pas? (Éditions David, 2018)

Atteinte de dystrophie musculaire, Myriam décide, après avoir fini son secondaire, de déployer ses ailes et de prendre son envol. Bousculée par son pneumologue qui lui demande abruptement « Veux-tu vivre? », elle se dit qu’elle ne peut plus attendre pour réaliser le voyage dont elle rêve depuis si longtemps. Avec son vieux chauffeur d’autobus, Mike, son amie Élizabeth et un copain, Scott, elle quitte pour la première fois le nid familial en direction de Québec pour enfin savourer sa liberté et repousser ses limites. Entre un bris mécanique et un saut en parapente, Myriam apprendra à composer avec sa vie différente des autres, certes parsemée d’embûches, mais combien savoureuse. Parce que personne n’est condamné tant et aussi longtemps qu’il ne se condamne pas lui-même, mais surtout parce que rien n’est impossible si on y croit, Mylène Viens, tout comme son personnage Myriam, ose crier haut et fort : « Pourquoi pas? » dans cette autofiction à la fois drôle et émouvante.

Rouge avril (Mécanique générale, 2021)

Dernière parution d’André St-Georges, Rouge avril suit Réal Petit, professeur de littérature au cégep approchant la quarantaine, qui se promet bien de publier bientôt son premier roman. Il ne reste qu’à en terminer l’écriture. Mais une rencontre avec un de ses anciens étudiants maintenant inscrit à la formation en bande dessinée à l’université lui donne une idée… Et s’il transformait son roman en BD? Ne serait-il pas meilleur scénariste que romancier? Ne serait-il pas plus facile de laisser quelqu’un d’autre terminer l’oeuvre? Plonger dans ce projet lui permettrait d’oublier les lettres anonymes qu’il reçoit au collège. Après tout, ce n’est pas vrai qu’il a couché avec une étudiante. Et il n’a pas plagié son mémoire de maitrise, non plus. 

Les départs (Éditions David, 2022)

Après la dévastation de la guerre, avec pour seul espoir une vie ouvrière à Londres, Catherine s’embarque sur un navire outre-Atlantique. New York l’attend! Elle aboutit pourtant à Montréal, où elle rencontre Élias, son futur conjoint, et Mathilde, la soeur de celui-ci, qui devient rapidement sa grande complice.

Les pensées de Catherine avancent en boucle à travers les années, nourrissant ses réflexions sous le prisme de l’émancipation. Héritière d’une lignée de femmes résilientes, elle adopte la figure de Rosa Luxemburg, révolutionnaire éprise de liberté et d’égalité, qui éclaire ce roman féministe.

Que reste-t-il quand on choisit de tout quitter? Comment survit-on à son propre départ?

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Journée du poème à porter

C’est une journée qui met la poésie à portée de main. On y voit des poètes apporter leurs mots et leurs rêves partout. Puis, on trouve un poème à porter dans le secret ou le partage.

Le 27 avril, les poèmes-affiches de l’exposition L’un·e l’autre ont été livrées au regard du public pour la première fois lors de la célébration de lancement de la Maison des arts littéraires. Vous pouvez désormais les admirer dans l’exposition extérieure qui se terminera le 17 mai.

L’un.e l’autre

Comment se retrouver après le temps-fossé que nous venons de traverser? Comment réapprendre la rencontre de l’Autre, hors de soi et en soi? Face aux clivages et aux inégalités, osons tendre la main pour rendre (toutes) les frontières malléables, poreuses.

À l’occasion de la Journée du poème à porter, orchestrée par La poésie partout le 27 avril 2023, la Maison des arts littéraires a proposé à plusieurs poètes de la région de se projeter dans l’altérité avec leur art. L’un.e l’autre est une invitation à la rencontre entre la poésie et les arts visuels qui met à contribution des artistes d’ici pour mettre en valeur la vitalité artistique et culturelle au sein du territoire de Gatineau. Une exposition de leurs poèmes-affiches étend sa toile dans la ville. Amusez-vous à les retrouver dans un parcours poétique à travers les cinq secteurs de la ville.

Voir les œuvres 

Quand? Du 27 avril au 17 mai 2023

Où? 5 secteurs de la Ville de Gatineau : Aylmer, Buckingham, Gatineau, Hull, Masson-Angers (intersections à venir)

Tarif Gratuit!

Les créations seront également imprimées en format carte postale et distribuées dans les commerces participants le long des artères ciblées et durant les événements spontanés de la Maison des arts littéraires.

Une chasse au trésor poétique à Gatineau

Quelques indices pour trouver la poésie dans les cinq coins de la ville.

Gatineau
Promenez-vous le long de la rue Jacques-Cartier, profiter de la fraîcheur de la rivière et repérez le poème-affiche de Mikael Gravelle entre la rue St-Louis et le boulevard Gréber. 

Buckingham
Flânez entre les bâtiments historiques de l’avenue de Buckingham pour débusquer l’oeuvre de Catherine Levasseur-Terrien entre les intersections de l’avenue Lépine et de la rue Joseph. 

 

 

Aylmer
Gardez l’oeil ouvert sur la rue Principale! L’oeuvre de Karina Pawlikowski se cache entre les rues Front et Belmont.

Hull
Amusez-vous à trouver le poème-affiche de François Baril-Pelletier en parcourant la rue Montcalm, entre la rue Papineau et le boulevard Alexandre-Taché. 

Masson-Anger
Entre les rues Caire et Saint-Martin, la rue Montréal (148) cache de nombreux petits trésors, comme la création d’Aymara Alvarado Sanchez.

Les artistes 

Mikael Gravelle

Mikael Gravelle a toujours été épris d’art et de littérature. À titre d’artiste visuel, il a exposé ses tableaux à Montréal et Gatineau avant d’entreprendre des études en bande dessinée et en graphisme à l’Université du Québec en Outaouais. En 2021, il publie son premier recueil de poèmes (Marelle et discorde) chez Hashtag. Dans sa pratique artistique, il puise à même sa vulnérabilité afin de la transformer en des images poignantes et transgressives.
 
Crédit photo : Poppa Quest

Catherine Levasseur-Terrien

Catherine Levasseur-Terrien est une artiste multidisciplinaire de Hull qui circonscrit les médiums du dessin et de l’écriture. Elle écrit de la poésie (Les benché.e.s) et des pièces de théâtre (Lol_ita et DJ Dumb Juan ou le buffet des continents). 

crédit photo : Jérôme Vogel

François Baril-Pelletier

François Baril Pelletier est un auteur, un peintre et un « homme du pays des hommes libres ». Il a publié plusieurs recueils de poésie, dont Les Trésors tamisés, qui lui a valu une nomination au Prix du Gouverneur général en 2015, et Déserts bleus, qui fut lauréat du prix LeDroit en 2016. Ayant préalablement fait des études en Arts visuels et en Études anciennes qui le conduisirent à Montréal, Ottawa de même qu’en France, il s’est ensuite consacré à l’écriture, publiant en 2022 son neuvième livre en douze ans.

Aymara Alvarado Sanchez

Aymara Alvarado Lang est née dans une lignée d’artistes à la capitale du México. Inspirée par son père, qui le a enseigné l’improvisation musicale et l’a emmenée à la véritable académie de San Carlos à Mexico, elle combine des techniques multidisciplinaires à travers les arts visuels, la production musicale et la performance. Son travail s’étend de l’art de la performance de rue aux cérémonies indigènes, développant son style avant-gardiste en interférant avec la catharsis des émotions humaines.

Ses projets récents comprennent des programmes artistiques et des événements artistiques communautaires

Karina Pawlikowski

Karina Pawlikowski est une artiste et auteure issue du milieu des arts visuels. Depuis 2015, sa pratique prend forme à travers les matériaux de l’écriture, de la voix, du dessin et de la vie courante. Son travail est appuyé, exposé et diffusé par diverses institutions québécoises, canadiennes, et internationales. La recherche de Pawlikowski questionne les normes qui encadrent la vie affective et relationnelle. Ses œuvres sont empreintes de référence à l’intime, à l’espace domestique et aux vivants qui l’habitent.

Célébration de début de saison de la MAL

Le public a rencontré les artistes et leurs œuvres lors du lancement de l’exposition qui a aussi été l’occasion de célébrer la nouvelle saison de la Maison des arts littéraires!